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29 avril 2012 7 29 /04 /avril /2012 12:30

Alba Helviorum, capitale des Helviens, fut  rattachée à la province de la Narbonnaise après sa conquête par les romains entre -125 et 118 avant JC. Alliés de Rome et de Jules César pendant la guerre des Gaules entre 58 et 52 avant JC, Alba connut un développement économique important après la conquête, sous Auguste. Mais c'est surtout au II ème siècle de notre ère que la ville connut son expansion maximale, avec un centre monumental prestigieux et une économie florissante. Après son déclin à la fin du III ème siècle, la ville perd son statut de siège épiscopal qui est transféré à Viviers, avant d'être complètement détruite par les Vandales au Vème siècle.

L'agglomération s'organise en réseau de rues perpendiculaires orientées :

  • nord-sud (cardo maximus), le Cardo étant bordé de boutiques
  • est-ouest (decumanus).

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Alba Helviorum : le cardo maximus , avec les boutiques sur la gauche (photo A. Almekinders - Creative Commons)

Ville ouverte, d'une trentaine d'hectares, sans mur d'enceinte, la cité a en son coeur le centre monumental regroupant un vaste ensemble de bâtiments à vocation administrative, civique, religieuse et économique autour de son forum.

 

Le théatre

Les fouilles ont révélé que son développement s'était fait en trois états successifs. Le plus ancien théâtre, de construction légère (gradins en terre et planches de bois), n'occupe que la rive droite du ruisseau qui se trouvera par la suite canalisé. Il daterait de la fin du Ier siècle av. J.‑C.

Une première reconstruction fut opérée au plus tôt en 30-45 après J.C, une seconde au début du II e siècle. D'une capacité de 3000 places, le théâtre se développe alors sur les deux rives du ruisseau, la cavea et l'orchestra occupant la rive droite, l'espace scénique enjambant le ruisseau, le mur de scène et le portique se trouvant sur la rive gauche. C'est ce dernier état qu'a restitué la restauration.

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Les quartiers d'habitations

Au nord de l'agglomération, le quartier de « Bagnols » concentre un habitat populaire et des activités artisanales. Ces maisons étaient construites avec des matériaux peu onéreux mais périssables tels que le bois et la terre. Ce quartier conserve également un sanctuaire. Ce lieu de culte va devenir au cours du Ier siècle apr. J.-C. le sanctuaire du culte impérial.

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Sanctuaire du culte impérial ( photo MC Pons )  

Au Sud, plusieurs Domus luxueuses ont été découvertes, dont la plus importante au lieu dit "Les Pinards" . Neuf très belles mosaïques y ont été mises au jour:

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      Mosaïque des poissons d'eau douce (carpes,perches..)  dans le triclinium (salle à manger) de la Domus des Pinards- Alba (photo MC Pons)

Le forum et les monuments publics 

Le forum est constitué d'un espace public (area publica) et d'un espace sacré  (area sacra, espace civique et religieux). Ce dernier se compose de deux édifices à portique: 

  • le premier au sud se composant d'une galerie couverte à colonnes s'ouvrant sur une cour où est implanté un temple , galerie richement parée de marbres et de mosaïques. 
  • au nord, le portique entoure une cour et un bâtiment, probalement la Curie, recevant l'administration municipale.

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Alba - Forum

D'autres monuments publics ou sacrés sont présents sur le site, mais d'usage inconnu (temple, édifices économiques ou religieux...).

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Monument public à usage économique ou religieux, en relations avec les Collèges?  (association professionnelles voir-ci-dessous

 

Les nécropoles 

En sortie de l'agglomération, les voies sont bordées par les nécropoles de Saint-Martin (Ier et IIe siècles après J.-C.) au sud-est et de Saint-Pierre (IIe ‑ IVe siècles après J.-C.) à l'ouest.

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Verreries romaine découvertes en contexte funéraire - Alba Halviorum (photo MC Pons)

 

Quelques données sur les habitants d'Alba Helviorium et les activités économiques

Les sources épigraphiques nombreuses nous renseignent sur la vie des habitants d'Alba :

Quelques notables 

  • Le patron Marcus Inthatius Vitalis, citoyen d'Alba, appelé par le Sénat de Lyon à sièger dans son sein (Lugdunum était la  capitale des trois Gaules). Il fut probablement un grand personnage de l'économie lyonnaise, puisqu'il fut non seulement patron de la corporation des vinarii, mais aussi de celles des nautes de la Saône, des utriclarii et des fabri de Lyon. Il est clair que son activité économique avait pour centre le commerce du vin, le reste représentant les connexions indispensables : transport fluvial et terrestre, fabrication et, le cas échéant, entretien des moyens de transport. 
  • Gaius Petronius Iunior fut le premier décurion d'Alba (premier magistrat de la ville) . Fils d'esclaves affranchis, il connut une ascension sociale remarquable : il fut tout d'abord membre de l'organisation de la jeunesse (Iuuvenes), puis patron des sévirs (sevirri augustales)  et des drapiers (centonarii) de la ville. Ces fonctions lui ont permis  d'obtenir la citoyenneté romaine et de faire partie de l'aristocratie municipale. Les sévirs étaient un groupe de six affranchis désignés pour l'année dans les municipes pour célebrer le culte d'Auguste et l'organisation des fêtes . Titre honorifique, il était précédé d'un licteur, qui le précédait dans tous ses déplacements.

 - Des collèges professionnels :

Quatre collèges professionnels (corporations) sont attestés sur une inscription datée du II ème siècle :

  • les fabri, c'est-à-dire des ouvriers du bâtiment, charpentiers et forgerons ;
  • les centonarii :  des drapiers, fabricants de centones de toutes sortes, servant entre autres à éteindre les incendies, d'où leur fonction connexe de pompiers ;
  • les dendrophori, fournisseurs de bois pour la construction et la marine,
  • les utriclarii : interprétés récemment comme des muletiers transportant le vin et l'huile dans des outres.      

      A noter que les fabri et les centonarii devaient également assurer les fonctions de pompiers municipaux, les premiers connaissant bien la structure des bâtiments, les seconds disposant de toiles susceptibles d'éteindre les incendies (centone = toile épaisse) , tandis que la corporation des dendrophores étaient chargés pour la ville du culte d'Attis (culte d'origine oriental associé à celui de Cybèle).

Des militaires originaires d'Alba dans l'empire 

  • Marco Hirtuleius, soldat de la garde prétorienne,  originaire d'Alba , inhumé à Carpentras (Carpentorate)
  • Quintus Julius, originaire d'Alba, légionnaire de la légion X Geminae (centurie de Saturninus), décédé à l'âge de 30 ans après 10 ans de service en Germanie inférieure,  près du camp de Noviomagus Batavorum (Nimègue aux Pays Bas)
  • Publius Clodius , légionnaire de la Legion I Germanica, décédé vers 35 après JC près du camp de  Bonna en Germanie inférieure (Bonn - Allemagne)  après 25 ans de service , à l'âge de 48 ans
  • Caius Lucretius , legionnaire de la Légion XIII Gemina Martia Vitrix, inhumé  près du camp de Carnuntum, en Pannonie (Vienne -Autriche) à l'âge de 40 ans après 19 ans de service
  • Decimus Marius Deciumus, légionnaire de la legion X Geminae (centurie de Tacitus), inhumé également à Carnuntum, et décédé à l'age de 25 ans après 4 années de service.      

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Stèle de Publius Clodius, soldat de la legion I Germanica (originaire d'Alba)- Rheinisches Landesmuseum, Bonn

La production de vin était, comme dans toute la vallée du Rhône, une des activités économiques essentielles du territoire Helvien. Pline l’Ancien relate, en 65 de notre ère, dans l’Histoire Naturelle, l’invention d’un cépage de vigne par les Helviens: "A Alba Helvienne de la province de Narbonnaise, a été inventée une vigne perdant sa fleur en un jour et pour cela très robuste. On l'appelle Carbunica et maintenant toute la province la plante". Ce texte atteste de la présence de la vigne en Helvie à cette époque.

 

 A noter  qu'un musée de siteest ouvert depuis  2013 présentant l'ensemble des découvertes dans le site antique  . 

 

Renseignement pratiques : cliquer ici.

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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 12:13

Le vicus Aquae (Aix les Bains antique) n'est pas mentionné dans les textes ni dans la table de Peutinger. Seules les inscriptions latines  retrouvées dans la ville mentionnent au Ier siècle de notre ère, le nom des habitants comme "vicani Aquenses". Il s'agit donc d'un vicus (petite bourgade rurale) rattaché aux thermes . 

Les principaux citoyens formaient une association de propriétaires, les " possessores"  qui jouaient un rôle social et politique : ils désignaient  un conseil de « decemlecti » (conseil municipal de dix membres) . Le vicus était rattaché administrativement à la cité de Vienne, capitale des Allobroges .

Une stèle nous informe d'un don fait par les decemlecti d'un bois et de son vignoble aux habitants, afin de célébrer des jeux pour le salut d'Auguste.

Les activités commerciales sont en partie révélées par une ordonnance municipale romaine où il est évoqué "l'interdiction d'introduire des véhicules dans le parc à bestiaux, sauf les jours de marché ou pour aller visiter le bois sacré." 

Les monuments encore visibles du Vicus Aquae

Aucun vestige de l'agglomération antique n'a été découvert, seuls des restes de trois monuments, dont deux ont une fonction encore incertaine, témoignent du passé antique de la bourgade thermale.

  •       Les thermes

Les vestiges des fondations des thermes romains auxquelles le vicus Aquae doit son existence sont conservés dans l’enceinte des thermes nationaux actuels.

Les premiers aménagements de la source thermal, identifiés lors des fouilles de la place de l’Hôtel-de-Ville, datent du Ier siècle de notre ère. Il s’agit d’une abside en cul-de-four et d’un complexe de bassins renforçant les aménagements de la source chaude qui jaillit d’une masse rocheuse taillée en conque. 

Plusieurs inscriptions font état de dévotions à Jupiter, Mercure, Comedovae. Bormo, dieu des sources d'origine celtique, est évoqué sur deux textes découverts dans les thermes.

 

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Thermes romains d'Aix les Bains- gravure de 1830 - Archives municipales

 

  • L'arc de Campanus

aix les bains arc campanus

Arc de campanus- Aix les bains

Cet arc fut érigé au frais de Lucius Pompeius Campanus, riche notable allobroge de la cité de Vienne. Bien que cet arc comporte des inscriptions en l'honneur de 15 membres de la famille Campanus , la fonction du monument reste cependant incertaine.

Envisagé comme arc funéraire de la famille Campanus, cette hypothèse n'était plus admise jusqu' à de nouvelles données archéologiques dans les années 1990 car  un interdit religieux romain ne permettait pas les enterrements en ville. Toutefois de nouvelles théories archéologiques (P. Leveau) pourraient remettre l'hypothèse au goût du jour, si on considere que ce monument, tout comme le "temple de Diane" , sont des monuments funéraires, et que le secteur d'habitat est ailleurs que dans ce secteur. 

En revanche, l'arc est disposé de manière à offrir une perspective en direction des thermes, et une route dallée passait sous son arche : l'hypothèse d'une porte urbaine est aussi possible.

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 Gravure de 1674 - GT Borgonia- Arc de Campanus (archives municipales)

  •  Le "temple de Diane" 

Un batiment interprété comme un temple daté de la fin du Ier siècle -II ème siècle par son style,  est encore conservé, imbriqué dans le mur l'ancien château d'Aix aujourd’hui hôtel de ville (et musée archéologique). Il s'agirait d'un petit temple mais certains archéologues avance également l'hypothèse d'un tempble funéraire, ou temple-tombeau, peut connu en Gaule.

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Le temple de Diane (carte postale ancienneà et le musée archéologique 

Bibliographie en ligne 

 

 

 

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25 février 2012 6 25 /02 /février /2012 09:15

Le complexe de potiers gallo-romains de Sallèles d'Aude, dans la province romaine de Narbonnaise,  s'étend sur environ 3 ha.

Les premiers fours de potiers datent de -10 avant JC, sous Auguste, et les installations ont fonctionné pendant plus de 3 siècles. Le site sera abandonné au début du IV ème siècle.

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Plan des fouilles du site archéologique

Ce complexe tout d'abord artisanal, puis semi-industriel, va produire des tonnes de tuiles , de la céramique commune, et notamment des amphores gauloises (à fond plat).

Le site archéologique comprend :

- un quartier d'habitation qui se développe à partir d'une place avec un puits d'où part une large rue bordée au nord et au sud d'une rangée de longues maisons à auvent. 

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Maquette des habitations et ateliers - Amphoralis ( photo Gellius) 

- une zone artisanale où l'on retrouve, des puits d'extraction de l'argile (3 - 4m de profondeur), des bassins de stockage de l'argile, et dans des batiments servant d'ateliers, des emplacements de tours de potiers (plusieurs dizaines dont une quizaine ont pu fonctionner simultanément à la fin du Ier siècle), des puits d'eau maçonnés, et surtout des fours de différentes dimensions (17 fours au total). 

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Reconstitution d'un atelier de potiers - Amphoralis (photo Gellius)

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Reconstitution d'un four dans l'atelier (photo Gellius)

 

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Solin de fours gallo-romains- Salleles d'Aude (photo Gellius)

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Maquette d'uin four en coupe - Amphoralis ( photo Gellius) 

A noter que dans les ateliers, des sépultures d'une quinzaine de nourissons ont été retrouvés le long des murs d'un des bâtiments, protégées par des tegulae ( tuiles) . Les sépultures de nourissons dans des ateliers voire des habitations sont une pratique assez courante dans les milieu modeste du monde romain à l'écart de la nécropole familiale : une façon peut être de maintenir ces nourrissons à proximité du monde des vivants ? Voir extraits de l'ouvrage sur les fouilles des tombes de nourissons de Salleles d'Aude : cliquez ici

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Sepulture de nourisson - Amphoralis

Informations pratiques sur le site d'Amphoralis : cliquez ici .

Plan de situation : 


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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 22:21

Sous le règne de Claude ou celui de Néron, au milieu du Ier siècle après JC, une vaste exploitation agricole est implantée à Montmaurin, sur le territoire des Convènes par un riche propriétaire.

Cette exploitation s'étend sur un "fundus" de plus de 1000 ha ; la maison du maitre (pars urbana) aurait été organisée  sur environ 2 ha autour d'un péristyle associé à une cour agricole aux bâtiments rangés sur les longs côtés.  La pars rustica (habitatations des ouvriers agricoles) correspondaient à une trentaire de batiement longeant la rivière de la Save, et pouvait abriter 400 à 500 personnes et 40 paires de boeufs.

Un mur d'enceinte clôt l'ensemble sur une superficie de 18 ha.

La villa semble connaître une période d'abandon ou de semi-abandon, peut-être consécutive à une crue de la Save, fin IIe ou IIIe siècle.

À la fin du IVe ou au début Vème siècle , deux campagnes d'importants remaniements sont entreprises : elles vont transformer l'exploitation agricole en une résidence extrêmement luxueuse, un somptueux palais à deux péristyles dans le genre gréco-romain.

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Vue de l'intérieur de la villa -photo Gellius

La villa fut abandonnée postérieurement au Ve siècle, le domaine agricole s'étendant alors sur 7000 ha, exploité en gestion indirecte par des fermes dispersées.

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      Plan de la villa

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Maquette de la villa présentée au musée de Montmaurin (photo Gellius)

 

L'état actuel des vestiges reflète le dernier état de construction, au environ de 350 après JC.

Dans sa plus grande longueur, la façade mesure 117 mètres. On entre par une cour d'honneur en forme de demi-cercle : bordée de colonnades, elle inclut un temple hexagonal de type gaulois.

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La cour d'honneur (photo Gellius) 

Depuis la cour, un vestibule d'apparat permet d'accéder au corps de logis central. Les quartiers d'habitation sont organisés autour d'une série de cours et de jardins intérieurs.

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Conduits de l'hypocauste sous les fondations d'une habitation système de chauffage central - (phoo Gellius)

Des vues sont aménagées pour contempler le panorama pyrénéen. Un premier péristyle, vaste, est entouré de chambres ; au nord-est de celui-ci, le logis se prolonge par un second péristyle, plus petit.

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Peristyle- photo Gellius

Au nord-ouest, une aile thermale comprend un nymphée et une piscine de plein air. 

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Frigidarium (bassin d'eau froide des thermes privés) -  photo Gellius

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Caldarium des thermes privés ( bassin d'eau chaude) -  photo Gellius

La villa compte environ deux cents pièces d'habitation : elles étaient décorées de colonnades, de portiques, ornées de de peintures murales et de collections de sculptures de marbre et de bronze, dallées de mosaïques ou de marbre de Saint-Béat blanc ou bleu-gris ; les fenêtres étaient vitrées, le corps de logis disposait d'un système de chauffage par le sol et les murs (hypocauste) ainsi que l'eau courante.

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Mosaiques - photo Gellius

Dans le logis d'été, six viviers d'eau de mer permettent de conserver les huîtres ainsi que vingt-deux autres espèces de coquillages transportés de l'Atlantique et de la Méditerranée. Les dépendances de la pars rustica incluaient des forges, une tuilerie-briqueterie et un atelier de tissage.

Le petit musée de site est hébergé dans l'ancienne école de Montmaurin, bien que vétuste, héberge de très belles pièces archéologiques découvertes lors des fouilles de l'après guerre :

 

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Ephèbe en Bronze

 

venus

Venus

buste

Buste d'adolescent

autelportable

Petit autel votif "portatif " en pierre (10 cm de haut), décoré d'une roue et d'une svastika à la base, en marbre blanc, d'un modèle fréquent dans les pyrénées

La villa de Montmaurin est classée monument historique et fait partie des grands monuments nationaux.

Informations pratiques :

- http://montmaurin.monuments-nationaux.fr

- http://www.montmaurin.fr/1048-la-villa.html

 

Plan de situation :


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